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Joignez-vous à la lutte contre les cancers gynécologiques — ensemble, sauvons plus de vies !

Tout l'argent recuilli lors de cet événement sera versé au Projet DOvEEgene.

À propos du projet DOvEEgene

Tous les bénéfices de cette activité de financement seront remis au projet DOvEEgene de la Dre Lucy Gilbert.

Le projet DOvEEgene repousse les limites du dépistage des cancers de l’ovaire et de l’endomètre, grâce à un nouveau test Pap génomique utérin, le test DOvEEgene. Ce test a été mis au point par la Dre Lucy Gilbert et par son équipe de chercheurs de l’Université McGill. Il propose une méthode sécuritaire et minimalement effractive pour le diagnostic précoce des cancers de l’ovaire et de l’endomètre. Il s’agit du seul test capable de faire la distinction entre les cellules cancéreuses et les cellules non cancéreuses chez les femmes au stade de la préménopause ou de la postménopause. Grâce à sa capacité à détecter les cancers dès le stade 1, ce test révolutionnaire va transformer l’avenir du dépistage des cancers de l’ovaire et de l’endomètre.

Quelques statistiques concernant le cancer de l'ovaire 

• Les cancers de l’ovaire et de l’endomètre représentent la quatrième cause de mortalité liée au cancer chez les femmes et constituent la principale cause de décès par cancer chez les femmes au Canada.
• Au Canada, une femme sur 72 va être atteinte d’un cancer de l’ovaire ou de l’endomètre.
• Le dépistage précoce diminue le nombre de traitements effractifs.
• On qualifie le cancer de l’ovaire de « tueur silencieux », car ses symptômes sont souvent vagues et ignorés des femmes. Le projet DOvEEgene invite les femmes à passer des tests spécialisés pour diagnostiquer la maladie le plus tôt possible.
• Le test DOvEEgene est minimalement effractif et peut trouver une cellule anormale parmi 1 000 cellules normales.
• Lorsque les cancers de l’ovaire ou de l’endomètre sont diagnostiqués au stade 1, le taux de survie à ces cancers frôle les 90 %.
• Le taux de survie à un cancer de l’ovaire diagnostiqué à un stade tardif n’est que de 10 à 30 %.

Nous devons attirer encore beaucoup plus d’attention sur cette maladie. Il y encore beaucoup trop de femmes qui meurent à cause d’un diagnostic tardif et d’un manque d’éducation sur ces terribles maladies.